Newsletter 41 (Mai 2013)

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Dans cette Newsletter cd2-conseils, nous allons vous présenter les premiers retours de l’utilisation des nouveaux dosimètres pour études de postes de l’IRSN et vous proposer un protocole d’utilisation qui permet aux PCR internes de réaliser leurs évaluations des risques de façon très précise sans avoir besoin d’utiliser un radiamètre.

Dosimètres pour études de postes : premiers retours

L’IRSN propose depuis quelques mois des dosimètres spécifiques pour réaliser une évaluation préalable des risques dus aux rayonnements ionisants communément appelée « étude de poste ». Leur utilisation permet de se passer d’un instrument de mesure type radiamètre. Nous vous avions présenté ces dosimètres dans la Newsletter 37 de janvier dernier. Nous allons maintenant vous exposer nos premières impressions suite à leur utilisation durant 3 mois.

Pour réaliser une étude de poste, il faut pouvoir estimer les doses à proximité des générateurs. Deux solutions existent :

  • l’utilisation d’un instrument de mesure type radiamètre,
  • l’utilisation des dosimètres passifs disposés judicieusement.

Nous allons vous expliquer comment mettre en œuvre les mesures à l’aide de dosimètres et vous montrer tous les avantages que nous pouvons en tirer.

L’étude de poste se déroule en deux étapes ; d’une part un relevé des doses dans l’environnement des générateurs et d’autre part une extrapolation des doses sur une année pour les différents travailleurs et pièces concernés.
Les résultats de cette évaluation seront utilisés pour :

  • définir la classification du personnel,
  • délimiter les zones de travail.

Relevé des doses dans l’environnement des générateurs

L’évaluation des doses à proximité des générateurs doit être effectuée dans des conditions réalistes, c’est-à-dire telles qu’elles se présentent lors du fonctionnement normal de l’installation.

Le fait d’utiliser des dosimètres sur une durée relativement longue (3 mois) permet de garantir que l’évaluation des doses est faite dans des conditions de fonctionnement normal.

Idéalement, les doses doivent être mesurées aux points représentatifs des positions occupées par les travailleurs, ainsi qu’en des points permettant d’établir la cartographie dosimétrique des locaux dans la zone d’évolution des travailleurs.
Comme nous allons le voir, les doses à proximité des générateurs dentaires sont tellement faibles qu’il n’est pas possible de les mesurer au-delà d’une certaine distance. Il faudra donc positionner les dosimètres en conséquence.

Positionnements des dosimètres

Nous avions déjà réalisé des mesures autour des deux générateurs rétro alvéolaires à proximité desquels nous avons expérimenté l’utilisation des dosimètres pour études de postes.

Ces mesures, réalisées à l’aide d’un AT 1123, montrent clairement que la répartition spéciale des doses n’est pas homogène.


Relevés des doses autour d’un générateur rétro alvéolaire

Relevés des doses autour d’un générateur rétro alvéolaire

Ces mesures permettent de schématiser les différentes régions autour du centre de diffusion, la tête du patient.
Les régions vertes indiquent les positions favorables, les régions oranges les positions à éviter et la région rouge la position fortement déconseillée.

Attention : le code couleur utilisé ne correspond aucunement aux zones réglementaires de l’arrêté du 15 mai 2006.

 


Répartition spéciale des doses autour de la tête du patient
Nous constatons que les zones en orange représentent les emplacements les plus pénalisants. Une évaluation des doses maximales délivrées à proximité du générateur peut être réalisée en plaçant un dosimètre dans ce volume.

C’est ce que nous avons décidé de faire en plaçant un des dosimètres pour études de postes à environ 50 cm sur le bras support du générateur.


Positionnement du premier dosimètre


Positionnement du premier dosimètre selon plusieurs incidences

Remarque : pour que les photos soient les plus explicites possibles, elles ne montrent pas le diffuseur en place (en fait le patient en train d’être radiographié). Pendant l’étude, toutes les radios ont été réalisées dans des conditions de fonctionnement normales des générateurs sur les patients du cabinet.

De façon à affiner la cartographie des doses dans le cabinet, un second dosimètre a été positionné au poste de déclenchement.


Positionnement du second dosimètre

Le cas de la radio panoramique est un peu différent, car lors du fonctionnement le générateur se déplace sur un demi-cercle.

Nous avons donc décidé de mettre un premier dosimètre à proximité (45 cm) de la tête du patient à l’opposé du générateur.


Positionnement du premier dosimètre

Le second dosimètre est disposé à une distance plus importante (90 cm), mais exactement à la moitié de la rotation. Cette position est particulière, car le générateur augmente automatiquement la dose de rayonnements dans cette zone pour obtenir une image correctement contrastée malgré l’épaisseur des vertèbres cervicales.


Positionnement du second dosimètre

Cette seconde position est à distance, mais à un emplacement où les rayonnements sont les plus puissants.

Valeurs relevées

Les dosimètres sont restés en place durant exactement 3 mois (mi-février à mi-avril) ce qui constitue aussi bien en durée qu’en volume d’activité une bonne approximation des conditions réalistes d’utilisation des générateurs.

Nous rappelons que les doses communiquées par l’IRSN sont des doses brutes desquelles le rayonnement naturel n’est pas soustrait. Cela n’est pas le cas pour les dosimètres personnels et d’ambiance pour lesquels les doses communiquées sont déjà « corrigées ».
Il faut donc, pour les dosimètres pour études de postes, soustraire la valeur du rayonnement naturel qui correspond à celle du dosimètre témoin.


Résultats dosimétriques sur 3 mois sans et avec déduction du rayonnement naturel

Les localisations des dosimètres étaient les suivantes :

  • ETUDE 000 & 001 : à proximité de la panoramique (000 à 45 cm et 001 à 90 cm),
  • ETUDE 002 & 003 : à proximité de la rétro alvéolaire Trophy (002 à 50 cm et 003 à 115 cm)
  • ETUDE 004 & 005 : à proximité de la rétro alvéolaire Siemens (004 à 50 cm et 005 à 110 cm)

Les résultats sont communiqués en équivalents de dose individuels Hp(10) et Hp(0,07), qui correspondent respectivement à la mesure de dose en profondeur dans les tissus (risque d’exposition du corps entier) et à la mesure de dose à la peau (risque d’exposition de la peau et des extrémités). Les valeurs de Hp(0,07) sont supérieures à celles de Hp(10) du fait d’un trajet moins long dans l’organisme ce qui implique une moindre atténuation.


Représentations schématiques de Hp(10) et Hp(0,07)

La peau a une épaisseur variable selon l’endroit du corps (0,5 à 5 mm d’épaisseur)
L’épiderme est la couche superficielle, protectrice de notre peau. Elle constitue la barrière extérieure. Son épaisseur est en moyenne de 0,5 mm.
Les valeurs de doses communiquées en Hp(0,07) correspondent à la quantité de rayonnements qui est présente à la surface de la peau, dans l’épiderme.
Les équivalents de dose individuels Hp(10) correspondent aux rayonnements qui atteignent la profondeur des tissus (10 mm).

Une rapide analyse des valeurs brutes montre que celles des dosimètres pour études de postes sont identiques ou très peu supérieures à celles du dosimètre témoin. Il n’y a qu’à proximité immédiate de la panoramique (ETUDE 000) que la dose est supérieure à celle du rayonnement naturel.

Les mesures du dosimètre ETUDE 005 peuvent surprendre, car elles sont inférieures à celles du rayonnement naturel. En réalité, comme l’incertitude sur les mesures est de l’ordre de 20% pour ces très faibles doses, il faut les considérer comme identiques.
Nous avons donc arrondi à un chiffre après la virgule les doses qui tiennent compte du rayonnement naturel.

Extrapolation des doses sur une année pour les travailleurs et pièces concernés

Après un trimestre d’utilisation, les équivalents de dose individuels Hp(10) sont systématiquement nuls à proximité des générateurs rétro alvéolaires.
En ce qui concerne les équivalents de dose individuels Hp(0,07), il faut être à proximité d’un des générateurs pour que la dose soit non nulle … mais elle reste néanmoins très faible (0,1 mSv pour le dosimètre ETUDE 004).
Au cours de ce trimestre d’utilisation normale des générateurs, 462 radios ont été réalisées sur le générateur Siemens et 240 sur le Trophy.

En ce qui concerne le générateur panoramique, 472 clichés ont été réalisés, mais pour autant les doses à quelques dizaines de centimètres du générateur restent très faibles.

En extrapolant ces valeurs à l’année en les multipliant par 4, ont obtient les résultats suivants.

Pour la radio panoramique :

  • Hp(10) (risque d’exposition du corps entier) : 2,4 mSv à 45 cm,
  • Hp(0,07) (risque d’exposition des extrémités) : 3,6 mSv à 45 cm (approximativement 73 mSv à 10 cm de la tête du patient).

Pour le générateur rétro alvéolaire Trophy :

  • Hp(10) (risque d’exposition du corps entier) : 0 mSv à 50 cm,
  • Hp(0,07) (risque d’exposition des extrémités) : 0 mSv à 50 cm.

Pour le générateur rétro alvéolaire Siemens :

  • Hp(10) (risque d’exposition du corps entier) : 0 mSv à 50 cm,
  • Hp(0,07) (risque d’exposition des extrémités) : 0,4 mSv à 50 cm (approximativement 10 mSv à 10 cm de la bouche du patient).

L’approximation des doses corps entier et extrémités dans le cas de la panoramique est uniquement destinée à évaluer les risques et à les mettre en perspective avec les limites réglementaires. La grande majorité des installations ayant un système de déclenchement externe, cette approche n’est pas à reproduire pour réaliser réellement le classement des travailleurs.

En tenant compte des précisions ci-dessus, un travailleur qui serait systématiquement positionné à 45 cm de la tète du patient et les mains à 10 cm lors de la réalisation de tous les clichés, serait classé en catégorie B. Cela est physiquement impossible du fait de la rotation du générateur, mais montre bien la faiblesse des doses.
Son corps serait en zone surveillée.

En ce qui concerne les générateurs de radios rétro alvéolaires, un travailleur qui serait systématiquement positionné à 50 cm de la tête du patient et les mains à 10 cm lors de la réalisation de tous les clichés pourrait ne pas être classé.
Son corps serait en zone non réglementée.

Nous attirons néanmoins votre attention sur la nécessité de classer a minima en Catégorie B les personnes qui sont amenées à rester dans la pièce lors du fonctionnement d’un générateur. En effet, cette évaluation est faite dans des conditions normales d’utilisation.

La Circulaire DGT/ASN n° 04 du 21 avril 2010 relative aux mesures de prévention des risques d’exposition aux rayonnements ionisants est très précise sur ce sujet.

« Au sens de l’article R. 4453-3, est considéré comme travailleur exposé tout travailleur susceptible de dépasser, dans le cadre de son activité professionnelle, l’une des valeurs limites de dose fixées pour le public, quelles que soient les conditions de réalisation de l’opération ; habituelles ou bien liées à un incident. »

La circulaire précise en outre que le non-respect d’une consigne de sécurité est considéré comme un incident devant être pris en compte. Malheureusement, il n’est passible d’assurer que cela n’arrivera pas dans un cabinet dentaire.

« En conséquence, l’employeur devra, à la suite de l’évaluation des risques et notamment par l’analyse du poste de travail, procéder au classement approprié des travailleurs concernés ou démontrer qu’ils ne peuvent dépasser les valeurs limites fixées pour le public dans le cadre de leur activité professionnelle dans les conditions de réalisation de l’opération, habituelles ou bien liées à un incident. »

En tenant compte de ces précisions, il est indispensable de classer les travailleurs au minimum en catégorie B.
Le Bilan des expositions professionnelles aux rayonnements ionisants publié annuellement par l’IRSN confirme le fait que l’immense majorité des chirurgiens dentistes et assistantes dentaires doivent être classés dans cette catégorie.

En ce qui concerne le zonage, il n’est pas envisageable de considérer le travailleur à 50 cm du générateur de radios rétro alvéolaires comme exerçant dans une zone non réglementée.

Il faut cette fois-ci se reporter à la Circulaire DGT/ASN n° 01 du 18 janvier 2008 relative à l’« arrêté zonage » qui précise en ce qui concerne les caractéristiques des limites de zone que :

« Par défaut, les limites de zones coïncident avec les parois des locaux … des aires concernés. »

A une distance moindre, les doses seront plus importantes et la limite de la zone surveillée sera immanquablement dépassée.
La zone surveillée est donc étendue à toute la surface du cabinet.

En conclusion, rien ne change en ce qui concerne le classement des travailleurs (toujours en catégorie B) et le zonage des pièces pour les appareils rétro alvéolaires (toujours en zone surveillée).
Par contre, sur la base de cette évaluation des risques, il est possible de considérer la salle panoramique comme une zone surveillée alors que parfois les mesures effectuées à l’aide d’un radiamètre aboutissent à la délimitation d’une zone contrôlée.
L’utilisation de ces dosimètres pour études de postes, une seule fois par an, permet de réaliser une estimation des doses annuelle. Celle-ci sert à la mise à jour annuelle du classement du personnel et du zonage des pièces.
En utilisant ces dosimètres, il n’est pas nécessaire de réaliser des mesures à l’aide d’un radiamètre.

 


Dosimètres pour études de postes : proposition de protocole d’utilisation

Les dosimètres pour études de postes sont proposés depuis plusieurs mois par l’IRSN. Nous les avons utilisés pendant 3 mois et en avons tiré plusieurs enseignements.
Nous sommes maintenant en mesure de proposer un protocole d’utilisation de ces moyens de mesure très précis et parfaitement adaptés aux besoins des PCR internes en cabinets dentaires.

Le Guide pratique sur la Réalisation des études dosimétriques de poste de travail présentant un risque d’exposition aux rayonnements ionisants publié par l’IRSN indique :

« L’objectif d’une étude de poste de travail est d’évaluer, dans des conditions normales de travail, les doses susceptibles d’être délivrées au personnel, consécutives à des expositions externes et internes aux rayonnements ionisants. »

Il est aussi précisé que « Les conditions normales de travail concernent les conditions habituelles ou bien celles liées à un incident. ».

La Circulaire DGT/ASN n° 01 du 18 janvier 2008 relative à l’« arrêté zonage » précise par ailleurs que la procédure de délimitation doit se faire en considérant les situations représentatives des conditions normales d’utilisation les plus pénalisantes.

Nous avons pris soin de positionner les dosimètres dans des régions où les doses sont les plus importantes et à une distance très pénalisante (50 cm) par rapport à la réalité des pratiques.
Nous pouvons donc considérer que ces critères de positionnement nous placent dans « les situations représentatives des conditions normales d’utilisation les plus pénalisantes ».
Les doses relevées par les dosimètres pour études de postes peuvent donc être considérées comme les doses les « plus pénalisantes ».

Résumé du protocole

Le protocole proposé pour évaluer les doses en vue de la réalisation d’une étude de poste peut être résumé ainsi :

1/ Commander des « dosimètres pour études de postes » à l’IRSN à l’exclusion de tous autres. Compléter et renvoyer la fiche de demande à télécharger sur http://dosimetre.irsn.fr ou à demander par e-mail à dosimetre@irsn.fr.
Un dosimètre positionné judicieusement à proximité du générateur est suffisant.


Dosimètres pour études de postes

Si un second dosimètre est utilisé, celui-ci permettra de confirmer la cartographie des doses.

2/ Positionner le dosimètre à une cinquantaine de centimètres du diffuseur (tête du patient) dans la région de l’espace où les doses sont les plus importantes.


Position du dosimètre pour étude de poste par rapport au diffuseur

Si un second dosimètre est utilisé, il faut essayer de le positionner entre 50 cm et 1 m du diffuseur de façon à pouvoir consolider la cartographie des doses. A une distance trop importante, le dosimètre ne sera pas utile, car les doses seront inférieures au seuil de détection.
Le dosimètre témoin doit être positionné à distance de toute source de rayonnements.
Remarque : l’emplacement des dosimètres et leurs numéros doivent être notés de façon à pouvoir relier ensuite ces informations aux doses qui seront communiquées par l’IRSN.

3/ Laisser les dosimètres en place durant au minimum 3 mois. Il est nécessaire de choisir cette période de façon à ce qu’elle soit représentative de l’activité du cabinet.
Il est préférable, mais pas indispensable de relever le nombre de radios réalisées durant cette période.

4/ A l’issue de la période, il faut adresser les dosimètres à l’IRSN en utilisant l’étiquette retour « DOSIMETRES POUR ETUDES DE POSTES – TRAITEMENT PRIORITAIRE » et le bordereau d’accompagnement qui sera à compléter.


Etiquette pour le retour des dosimètres

5/ Le traitement des résultats dosimétriques reçus de l’IRSN commencera par la soustraction de la dose de rayonnement naturel (TEMOIN) aux valeurs communiquées par les dosimètres (ETUDE).
L’extrapolation des doses sur une année se fait en multipliant par 4 (ou un autre coefficient en fonction de la période d’analyse) les équivalents de dose individuels Hp(10) et Hp(0,07).

6/ La classification du personnel et la délimitation les zones de travail sont réalisées en comparant les valeurs obtenues aux limites réglementaires.
Les valeurs de Hp(10) qui mesurent les doses en profondeur dans les tissus sont à comparer aux valeurs pour le corps entier.
Les valeurs de Hp(0,07) qui correspondent à la mesure de dose à la peau sont à comparer aux valeurs pour les extrémités.


Tableau des limites réglementaires pour le classement des travailleurs


Tableau des limites réglementaires pour le zonage des locaux

Remarque : l’utilisation de dosimètres ne permet pas d’obtenir des informations en ce qui concerne les doses pendant l’« heure la plus pénalisante ». C’est actuellement la seule limite de cette solution qui par ailleurs ne comporte que des avantages.

Avec les dosimètres pour études de postes proposés par l’IRSN, nous pouvons obtenir une estimation très fiable des doses dans l’environnement de nos générateurs.
Cette estimation est bien plus précise que ce qu’il est possible d’obtenir en réalisant quelques mesures à l’aide d’un radiamètre. En effet, l’incertitude sur les mesures multipliée plusieurs centaines ou milliers de fois pour extrapoler les doses à l’année constitue un obstacle insurmontable à une estimation précise des risques.
Les dosimètres, utilisés sur une période de temps longue (3 mois), permettent de considérablement améliorer la précision de l’évaluation.

Avec ce protocole, la PCR interne n’a pas à disposer d’un instrument de mesure type radiamètre, coûteux et d’une utilisation en rien triviale, pour être en mesure de réaliser, sans recourir à un organisme extérieur, toutes ses études de postes.
Par ailleurs, les évaluations des risques ainsi réalisées sont beaucoup plus réalistes que ce qui peut être obtenu à l’aide d’un radiamètre. Le coût des dosimètres étant modique, moins de 9 €, cette approche constitue une avancée significative pour les PCR internes dentaires.

Nous espérons que cette Newsletter cd2-conseils vous a plu et nous attendons vos remarques et suggestions pour l’améliorer.

Bien cordialement,

L’Equipe cd2-conseils